Le Monde : Les corps en feu de femmes iraniennes crient leur refus de l’ordre infernal qui leur est imposé
Début septembre 2019, une jeune femme s’immole devant le tribunal de la révolution islamique de Téhéran, elle venait d’apprendre sa condamnation à une peine de prison pour avoir osé entrer, l’année précédente, dans un stade et assister à un match de foot. Elle s’appelait Sahar, l’aube en persan. Dans la poésie et la chanson iraniennes, ce mot évoque la fin…